Les Globe Croqueurs

Ne pleure pas parce que c’est fini, souris parce que c’est arrivé…

Cette phrase, nous l’avons lue au hasard d’une journée, sur le T-Shirt d’un passant et elle nous a tout de suite parlé. Pas facile d’appliquer cet état d’esprit cependant quand les souvenirs de toutes les aventures passées au fil des mois reviennent en mémoire, que l’on parcourt les rues d’une ville que l’on adore, que l’on s’émeut encore d’observer les gens vivre, rire, manger, prier, chahuter, aimer, avec leur coutumes, leurs manières. Pas facile non plus quand on se sent à sa place et que l’on doit partir.